LONDRES, 12 févr. 2024 (GLOBE NEWSWIRE) -- Selon une étude menée par Vertex, Inc. (NASDAQ:VERX) (« Vertex » ou la « Société »), un fournisseur mondial de solutions technologiques pour la fiscalité, les entreprises aux États-Unis estiment qu’elles sont plus performantes que les autres régions avec leurs capacités actuelles en matière de fiscalité indirecte.
Vertex a interrogé 580 décideurs en matière de fiscalité indirecte (représentant des entreprises internationales dont le chiffre d’affaires annuel est d’au moins 50 millions de dollars) et a demandé à chacun d’entre eux de se classer en fonction de ses performances en matière de fiscalité indirecte, allant de « championne » (la meilleure) à « chenille » (la plus mauvaise).
Quarante-trois pour cent des organisations américaines se sont déclarées « championnes », ce qui signifie que leur entreprise est protégée et capable de faire face à l’épreuve du temps grâce à une approche technologique efficace. Les États-Unis ont pris la tête dans la catégorie des « champions », tandis que les entreprises britanniques et irlandaises ont été considérées comme des « chenilles », 72 % d’entre elles décrivant leur entreprise comme étant sujette à des risques en matière de gestion de la conformité de la fiscalité indirecte.
Peter Boerhof, directeur principal de la TVA pour le bureau fiscal principal de Vertex, a commenté les résultats en ces termes : « Si l’on examine les différences régionales, il est clair que les régions championnes ont adopté la technologie fiscale pour les aider à relever les défis actuels de leur stratégie de conformité. Soixante-dix-sept pour cent des personnes interrogées aux États-Unis estiment que les moteurs et les logiciels spécialisés ont simplifié le processus de mise en conformité, et 81 % se sentent bien équipées pour rendre la fiscalité numérique. Il n’est pas surprenant que de nombreuses organisations américaines aient adopté la technologie fiscale pour faire face à la complexité de leur paysage fiscal, car elles doivent composer avec plus de 19 000 juridictions fiscales et des taux et règles d’impôts indirects ».
« Mais si l’on compare ces chiffres à ceux du Royaume-Uni, l’une des plus grandes régions à recenser des « chenilles », on constate que 38 % des répondants au sein de cette région estiment que la principale lacune de leur stratégie de conformité est l’absence de technologie adéquate », a confié M. Boerhof.
Dans toute l’Europe, de nombreux facteurs incitent les entreprises à adopter une approche plus prudente de la gestion de la conformité en matière de fiscalité indirecte. Il s’agit notamment de l’arrivée de la proposition relative à la TVA à l’ère numérique (VAT in the Digital Age, « ViDA »), de la numérisation continue du paysage réglementaire et de l’évolution constante des règles et des taux de TVA.
En conséquence, les entreprises de nombreuses régions d’Europe se sentent bien armées pour faire face aux règles de facturation électronique existantes ou à venir (77 % dans la région DACH, 77 % en Italie et 70 % en France).
En outre, les entreprises de cette région se sentent bien armées pour faire face à l’évolution des règles d’enregistrement de la TVA : 93 % des entreprises espagnoles l’affirment, suivies de près par l’Italie (83 %) et la région DACH (79 %).
Si l’on considère plus particulièrement la région DACH, la plus grande partie des personnes interrogées se sont déclarées « calculatrices », 39 % des entreprises admettant qu’elles adoptent une approche plus calculée et plus réfléchie de la mise en conformité avec la fiscalité indirecte.
Plus de la moitié (56 %) des organisations basées dans la région DACH qui ont été jugées non conformes par le passé déclarent que cette classification a eu des conséquences financières importantes pour leur entreprise, tandis que 54 % des entreprises italiennes déclarent la même chose.
Au Royaume-Uni et en Irlande, un quart (25 %) des personnes interrogées se considèrent comme des « chenilles », soit plus que les entreprises des États-Unis (14 %), de la région DACH (19 %) et de l’Espagne (17 %), ce qui suggère que la conformité à la fiscalité indirecte ralentit les activités opérationnelles des entreprises dans ces pays.
L’enquête indique que le manque de compétences et de talents au sein des départements fiscaux n’est pas seulement un problème pour les entreprises du monde entier, mais particulièrement pour celles du Royaume-Uni et de l’Irlande, où plus d’un tiers des personnes interrogées (36 %) déclarent qu’il s’agit de la plus grande lacune dans leurs capacités à gérer la conformité en matière de fiscalité indirecte.
L’adoption de solutions technologiques dédiées à la fiscalité a également joué un rôle dans la distinction entre les régions « championnes » et les régions « chenilles ».
Gunjan Tripathi, Directeur EMOA pour le marketing des solutions chez Vertex, a ajouté : « L’adoption de la bonne technologie fiscale pour votre entreprise est une étape importante, mais il faut également mettre l’accent sur la formation continue et le développement des compétences informatiques au sein des équipes fiscales afin qu’elles puissent mettre en œuvre et gérer cette technologie ».
« Certains signes montrent que les entreprises sont prêtes à s’engager dans cette voie. Près de la moitié de nos répondants à l’échelle mondiale (49 %) pensent qu’ils seront plus en conformité avec la fiscalité indirecte d’ici 2030, et 56 % des entreprises du Royaume-Uni pensent de même, ce qui donne une image plus optimiste de l’avenir », a noté M. Tripathi.
Les résultats complets de la recherche sont disponibles via ce lien.
À propos de la recherche
L’enquête a été menée auprès de 580 professionnels ayant une influence sur les décisions relatives aux impôts indirects dans des entreprises affichant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 50 millions de dollars et basées en Belgique, aux Pays-Bas, dans la région DACH, dans les Pays scandinaves, en Espagne, en France, en Italie, au Royaume-Uni, en Irlande et aux États-Unis.
Au niveau global, les résultats sont précis à ± 4,1 % avec des limites de confiance de 95 %, en supposant un résultat de 50 %.
Les entretiens ont été menés en ligne par Sapio Research en juin 2023 à l’aide d’une invitation par courrier électronique et d’une enquête en ligne.
À propos de Vertex
Vertex, Inc. est l’un des principaux fournisseurs mondiaux de solutions en matière de fiscalité indirecte. La Société a pour vocation de fournir une fiabilité absolue en matière de technologie fiscale, et ainsi permettre aux entreprises du monde entier de réaliser des transactions en toute conformité, tout en se développant en toute confiance. Vertex fournit des solutions qui peuvent être adaptées à des secteurs spécifiques pour les principaux systèmes fiscaux indirects, y compris les ventes et l’utilisation par les consommateurs, la valeur ajoutée et la paie. Basée en Amérique du Nord, et avec des bureaux en Amérique du Sud et en Europe, Vertex emploie plus de 1 400 professionnels et répond aux besoins d’entreprises du monde entier.
Pour tout complément d’information, rendez-vous sur www.vertexinc.com ou suivez-nous sur Twitter et LinkedIn.
Copyright © 2024 Vertex, Inc. Tous droits réservés. Les informations figurant dans le présent document sont uniquement publiées à titre d’information. Elles peuvent faire l’objet d’évolutions futures à tout moment et ne constituent en aucun cas un conseil juridique ou fiscal. La direction du produit et les informations potentielles de feuille de route ne constituent aucune garantie, ne peuvent s’intégrer dans un contrat quelconque, ni ne représentent un engagement à fournir quelconque matériau, code ou fonctionnalité. Ces informations ne doivent servir à aucune prise de décision d’achat, juridique ou fiscale. La mise au point, la diffusion et le calendrier de déploiement de l’ensemble des fonctionnalités ou caractéristiques décrites pour les produits de vertex restent à la seule discrétion de Vertex, Inc. Toutes les déclarations contenues dans cette communication qui ne sont pas des faits historiques sont des déclarations prospectives au sens du Private Securities Litigation Reform Act (loi américaine sur la réforme des litiges relatifs aux valeurs mobilières privées) de 1995. Toutes les déclarations prospectives sont assujetties à divers risques et incertitudes décrits dans les documents déposés par Vertex auprès de la Securities and Exchange Commission (« SEC ») des États-Unis, qui pourraient entraîner un écart significatif entre les résultats réels et les anticipations. Vertex conseille aux lecteurs de ne pas se fier indûment à ces déclarations prospectives, que Vertex n’a aucune obligation de mettre à jour.
Pour les demandes de renseignements de la presse :
James Weaver
Skout PR for Vertex, Inc.
james.weaver@skoutpr.com
+44 1625 869 418
Contact de la Société :
Rachel Litcofsky
Vertex, Inc.
mediainquiries@vertexinc.com
Contact pour les relations avec les investisseurs :
Joe Crivelli
Vertex, Inc.
ir@vertexinc.com