Le programme de partenariat universitaire de l’EACL et des LNC s’étend à l’ouest grâce à des ententes avec les universités de Regina et de la Saskatchewan

Les universités de Regina et de la Saskatchewan s’associent à des organismes canadiens de recherche nucléaire pour promouvoir le développement de l’énergie nucléaire dans la province


CHALK RIVER, Ontario, 13 nov. 2024 (GLOBE NEWSWIRE) -- Énergie atomique du Canada limitée (EACL), société d’État fédérale d’énergie atomique du Canada, et les Laboratoires Nucléaires Canadiens (LNC), premier laboratoire de science et de technologie nucléaires du Canada, sont heureux d’annoncer qu’ils ont signé des accords avec l’université de Regina et l’université de la Saskatchewan afin de développer des occasions de recherche collaborative. Les accords accueillent deux participants supplémentaires au programme de partenariat universitaire des LNC, qui a été lancé en 2023 pour cultiver des relations plus étroites avec la communauté universitaire du Canada et faire progresser la recherche collaborative dans les domaines des sciences de la santé et de l’environnement, de l’énergie propre, et de la sûreté et de la sécurité.

Des représentants des quatre organisations ont officialisé la nouvelle lors d’une cérémonie de signature qui s’est tenue plus tôt aujourd’hui au College of Engineering de l’Université de Saskatchewan, un événement qui a accueilli les deux premiers participants de l’ouest du Canada au programme. Dans le cadre de leurs accords individuels, les organisations vont maintenant explorer les possibilités de partenariat sur une variété de projets de recherche conjoints dans le domaine des sciences et technologies nucléaires, développer des occasions éducatives uniques, partager des infrastructures spécialisées et contribuer au développement de nouvelles technologies innovantes.

« Au nom des LNC, je souhaite la bienvenue à l’université de Regina et à l’université de Saskatchewan dans notre programme de partenariat universitaire, qui étend notre réseau à l’ouest du Canada, une région qui souhaite réaliser des ambitions passionnantes pour faire progresser le secteur nucléaire national », a commenté Dr Stephen Bushby, vice-président des sciences et de la technologie des LNC. « Nos organisations partagent une même vision de l’avenir de la science et de la technologie nucléaires au Canada, mais pour y parvenir, il faut une coopération nationale afin de développer une main-d’œuvre qualifiée, de répondre aux besoins et aux capacités techniques non satisfaits et de relever les nouveaux défis. Grâce au leadership de la directrice du programme de partenariat universitaire, Gina Strati, nous progressons bien vers ces objectifs et deux autres établissements de notre réseau sont maintenant prêts à explorer d’autres possibilités de collaboration. ».

« Énergie atomique du Canada limitée est très heureuse d’accueillir l’Université de Regina et l’Université de la Saskatchewan dans son réseau de partenaires universitaires », a fait remarquer Dr Amy Gottschling, vice-présidente, science, technologie et surveillance commerciale. « Le Canada possède des atouts incroyables en science nucléaire, grâce à ses laboratoires nationaux et à l’expertise de classe mondiale des LNC. Être en mesure d’élargir notre portée, de partager ces atouts avec les institutions académiques, de faire progresser la recherche actuelle, et, peut-être plus important encore, soutenir le développement de la prochaine génération de chercheurs canadiens brillants et novateurs – lorsque nous savons que nous sommes confrontés à un défi en matière de compétences – est une victoire pour tout le monde. »

« L’université de Regina se réjouit des possibilités offertes par ce nouveau protocole d’entente, qui ouvre la voie à des programmes de recherche et de formation novateurs et collaboratifs qui soutiennent notre vision stratégique », a déclaré Christopher Yost, vice-président (recherche) de l’université de Regina. « Cet accord renforce les possibilités pour nos étudiants de participer à un apprentissage pratique avec deux chefs de file mondialement reconnus dans les domaines de la science, de la technologie et de l’innovation nucléaires. En élargissant son réseau de partenaires, l’université consolide son rôle de chef de file, renforce la position de la Saskatchewan en tant qu’acteur clé de la science nucléaire dans l’ouest du Canada, et amplifie la portée et l’impact de sa recherche ».

« L’histoire de l’USask en matière d’innovation nucléaire est riche d’enseignements. L’accord conclu avec les Laboratoires Nucléaires Canadiens et Énergie atomique du Canada limitée souligne l’engagement d’USask et du College of Engineering en faveur de cette innovation. Le fait de pouvoir offrir aux étudiants et aux chercheurs des possibilités inégalées d’explorer la science nucléaire nous permettra de mener la transition mondiale vers des sources d’énergie plus efficaces et de créer des technologies avancées qui bénéficieront à tous les domaines des soins de santé », a commenté Baljit Singh, vice-président de la recherche à l’USask.

Cette annonce est diffusée alors que l’intérêt pour l’énergie et la technologie nucléaires ne cesse de croître en Saskatchewan, qui fait partie des quelques provinces canadiennes qui ont déjà une présence significative dans le secteur nucléaire canadien. En plus d’être le site d’un réacteur de recherche SLOWPOKE-2, qui a été exploité par le Saskatchewan Research Council de 1980 à 2017, la Saskatchewan abrite le Sylvia Fedoruk Canadian Centre for Canadian Nuclear Innovation, qui exploite le Saskatchewan Centre for Cyclotron Services (SCCS), et qui continue d’investir dans des partenariats programmatiques avec des institutions de la Saskatchewan pour financer des projets de recherche dans des domaines nucléaires. Le nord de la Saskatchewan possède également les plus grands gisements d’uranium à haute teneur au monde, et SaskPower poursuit actuellement la construction d’un petit réacteur modulaire (SMR) GE Hitachi BWRX-300, qu’elle vise à déployer d’ici 2034.

Ce partenariat vise à exploiter les atouts de chaque institution, notamment les vastes ressources des laboratoires nucléaires nationaux du Canada, afin de faire progresser la science et la technologie nucléaires à l’échelle nationale, d’explorer les applications des sciences de l’environnement et de la santé, d’améliorer les possibilités d’enseignement, d’assurer la sécurité énergétique et de contribuer à l’élaboration de solutions énergétiques durables. Pour ce faire, les accords définissent plusieurs domaines clés de collaboration, notamment des projets de recherche, des échanges de professeurs et des programmes éducatifs axés sur le nucléaire et l’ingénierie, ainsi que l’accès à des infrastructures spécialisées et la mobilisation des connaissances.

Comme les accords précédents, ces accords s’inscrivent dans la stratégie d’entreprise des LNC, Vision 2030, qui a été lancée en 2022, qui définit le rôle central que les LNC souhaitent jouer dans le futur paysage nucléaire canadien. En tant que ressource nationale pour tous les niveaux de gouvernement, l’industrie nucléaire, le secteur privé dans son ensemble et la communauté universitaire, les LNC entendent travailler de concert avec d’autres organismes pour aider à faire progresser les produits et services canadiens novateurs vers leur déploiement, y compris l’énergie sans carbone, les traitements contre le cancer et autres thérapies, les technologies de non-prolifération et les solutions de gestion des déchets.

Pour en savoir plus sur les LNC, notamment sur ses projets et programmes de recherche, veuillez visiter le site www.cnl.ca. Pour en savoir plus sur Vision 2030, veuillez visiter la page www.cnl.ca/vision2030.

À propos des LNC

En tant qu’organisme de science et de technologie nucléaires le plus important du Canada, et travaillant sous la direction d’Énergie atomique du Canada limitée (EACL), les LNC sont un chef de file mondial en développement de produits et de services innovants de science et de technologie nucléaires. Conformément à une stratégie d’entreprise ambitieuse du nom de Vision 2030, les LNC mettent en œuvre trois priorités stratégiques d’importance nationale – restaurer et protéger l’environnement, faire progresser les technologies d’énergie propre et contribuer à la santé des Canadiens.

En tirant parti des actifs détenus par EACL, les LNC servent aussi de liaison entre le gouvernement, l’industrie nucléaire, le secteur privé dans son ensemble et la communauté universitaire. Les LNC collaborent avec ces secteurs pour faire progresser les produits et services innovants canadiens vers leur utilisation pratique : énergie carboneutre, traitements contre le cancer et autres thérapies, technologies de non-prolifération et solutions de gestion des déchets.

Pour en savoir plus sur les LNC, veuillez visiter https://www.cnl.ca/?lang=fr.

À propos d’EACL

EACL est une société de la Couronne fédérale dont le mandat est de favoriser les possibilités nucléaires du Canada. EACL, qui possède les Laboratoires de Chalk River et d’autres sites, habilite la science et la technologie nucléaires et gère les responsabilités du gouvernement canadien en matière de déchets radioactifs. Elle supervise et évalue le travail des LNC par le biais de contrats.

En activité depuis 1952, EACL a conçu et développé le parc de réacteurs nucléaires CANDU utilisés au Canada et dans cinq autres pays. Elle a également livré plus d’un milliard d’isotopes dans le monde entier pour détecter et traiter le cancer. Aujourd’hui, la société profite aux Canadiens en soutenant 14 ministères et organismes fédéraux, ainsi que l’industrie nucléaire mondiale.

Pour en savoir plus sur EACL, visitez www.aecl.ca.

Personne-ressource chez EACL :
Jeremy Latta
Directeur des communications et rapports au gouvernement
Tél. : 343 303-5448
Courriel : jlatta@aecl.ca

Personne-ressource aux LNC :
Philip Kompass
Directeur des communications d’entreprise
1 866 886-2325
media@cnl.ca

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Laboratoires Nucléaires Canadiens