MONTRÉAL, 06 déc. 2024 (GLOBE NEWSWIRE) -- Une réduction trop importante des admissions d’étudiants internationaux pourrait avoir des répercussions sur le potentiel économique à long terme du Québec, avertit l’IEDM, après l’adoption du projet de loi 74 hier.
« Les universités québécoises sont des centres de recherche de calibre international, et limiter leur potentiel d’attraction de talents venant de l’étranger pourrait grandement leur nuire », indique Renaud Brossard, vice-président aux Communications à l’IEDM. « Il ne faut pas oublier que ces efforts de recherche et développement se traduisent en brevets, en meilleure compréhension du monde dans lequel on vit, et en solutions aux enjeux clés auxquels le Québec fait face.
« C’est sans compter les bienfaits qui découlent de l’accroissement du bassin de talents duquel nos entreprises peuvent recruter. »
L’IEDM rappelle que, bien que le projet de loi 74 a été adopté, la réduction du nombre de visas étudiants n’a pas encore été annoncée et viendra par décret.
En novembre dernier, l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) rappelait que 63 pour cent de ses publications scientifiques avaient été faites en collaboration avec des chercheurs provenant de l’étranger.
L’IEDM est un think tank indépendant sur les politiques publiques qui compte des bureaux à Montréal, Ottawa et Calgary. Par ses publications, ses apparitions dans les médias et ses services consultatifs aux décideurs politiques, l’IEDM stimule les débats et les réformes des politiques publiques en se basant sur les principes établis de l’économie de marché et sur l’entrepreneuriat.
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