MONTRÉAL, 10 févr. 2020 (GLOBE NEWSWIRE) -- Près de 60 pour cent des Canadiens affirment lutter contre la distraction au travail – et perdre jusqu’à deux heures de productivité par jour – selon un nouveau sondage national commandé par iQ Offices, la plus importante entreprise de coworking de propriété canadienne, dont les espaces de travail sont conçus pour favoriser la productivité. iQ Offices ouvrira ses portes à Montréal ce printemps.
Selon le Sondage sur la productivité au travail iQ Offices, mené par Maru/Blue en janvier 2020 auprès de plus de 1 500 Canadiens, la majorité des adultes Canadiens (57 pour cent) sont d’accord pour dire qu’« il est facile d’être distrait dans mon lieu de travail ». Les participants de moins de 35 ans disaient être les plus distraits, dans une proportion impressionnante de 65 pour cent.
Principaux freins à la productivité
Les bavards : À la question « nommez votre principale entrave à la productivité », les Canadiens interrogés ont pointé du doigt les personnes bruyantes et les collègues bavards, dans une proportion de 54 pour cent. Les Québécois (61 pour cent), les répondants des provinces atlantiques (58 pour cent) et ceux du Manitoba et de la Saskatchewan (56 pour cent) étaient les plus susceptibles d’identifier le bavardage excessif comme un problème au boulot.
Les aménagements de bureau tendance : Les ennuis liés à l’organisation de l’espace dans les lieux de travail tendance se classent deuxième au palmarès des freins à la productivité. Près de la moitié des répondants (49 pour cent) blâment leur manque de concentration sur « les zones de détente bruyantes » et « les concepts d’aire ouverte distrayants ». Les personnes interrogées du Québec (58 pour cent), du Manitoba et de la Saskatchewan (56 pour cent) et des provinces atlantiques (52 pour cent) étaient les plus susceptibles de déplorer les effets négatifs sur la productivité dans les espaces de travail partagés, mais bruyants.
Les stations de travail non attribuées : Le troisième plus important frein à la productivité pour les Canadiens consiste en « les postes de travail non attribués où les bureaux ne sont pas assignés de façon permanente ». Près de la moitié des gens interrogés (43 pour cent) y voient un problème majeur. Les participants de l’Alberta (52 pour cent), de la Colombie-Britannique (47 pour cent) et des provinces atlantiques (47 pour cent) considèrent que ce type d’espace de travail représente le plus grand défi en matière de productivité.
Réunions improductives : Les réunions qui vous font gaspiller du temps complètent le palmarès canadien des freins à la productivité. Des personnes interrogées, 38 pour cent sont d’accord à cet égard, dont une plus grande proportion d’hommes (45 pour cent) que de femmes (32 pour cent). Selon le sondage, les Ontariens (43 pour cent) et les Britanno-Colombiens (41 pour cent) sont plus touchés par les réunions improductives, tandis que les Manitobains et les Saskatchewanais en sont plus tolérants (25 pour cent).
Selon le sondage, on préfère un travail plus attrayant plutôt que plus payant
Le milieu de travail est tellement important qu’environ les deux-tiers (64 pour cent) des répondants affirment préférer « un emploi légèrement moins rémunéré afin de travailler dans un environnement bien situé… dans un bel espace favorisant la productivité et la satisfaction du personnel ». Les participants de moins de 35 ans (68 pour cent) et les Albertains (72 pour cent) sont plus susceptibles de préférer un emploi avec espace de travail convivial plutôt qu’un emploi plus payant.
Et que pensent les Canadiens au sujet des autres aspects du milieu de travail qui touchent la productivité ? Au nombre des éléments pouvant contribuer à réaliser leur plein potentiel au travail, on retrouve un espace de travail bien situé (60 pour cent), la possibilité de travailler à distance (50 pour cent), un espace de travail esthétique assorti de lumière naturelle (43 pour cent) et le respect de la vie privée au travail.
Coûts associés aux freins à la productivité au Canada
Interrogés au sujet de l’impact des obstacles à la productivité sur leur rendement, 73 pour cent des Canadiens estiment qu’ils pourraient gagner jusqu’à deux heures par jour s’ils travaillaient dans un lieu conçu pour minimiser les distractions.
Plus d’un tiers des répondants (35 pour cent) ont affirmé qu’ils pourraient bonifier leur productivité de deux heures par jour en travaillant dans un environnement conçu pour favoriser la productivité. De plus, 38 pour cent des participants ont indiqué qu’ils pourraient compléter leur journée de sept heures habituelle en six heures. Les moins de 35 ans étaient les plus susceptibles d’estimer pouvoir augmenter leur productivité de deux heures par jour (39 pour cent), de même que les personnes interrogées dans les provinces atlantiques (38 pour cent), au Québec (36 pour cent) et en Ontario (36 pour cent).
« La grande majorité des gens reconnaissent d’emblée que les principaux freins à la productivité sont liés à l’aménagement physique des lieux, comme les stations de travail non attribuées, le bruit et les aires ouvertes distrayantes, loin devant ceux qui touchent la charge de travail, comme les courriels trop nombreux (17 pour cent) ou le travail additionnel imprévu (19 pour cent) », révèle Kane Willmott, cofondateur et PDG d’iQ Offices, ajoutant que ces données aident les concepteurs et architectes d’iQ Offices à optimiser les concepts d’aménagement de demain à l’intention des entreprises.
Conseils d’un expert pour favoriser la productivité
Kane Willmott se fait un champion de la productivité au travail, grâce aux solutions de coworking d’iQ Offices. Il aime partager sa passion pour la psychologie environnementale et sa vision unique en matière de conception de bureau, perfectionnée au fil de quelque dix ans d’expérience en affaires. La méthode éprouvée d’iQ connaît un succès retentissant et les concepts offerts conviennent à toute entreprise voulant rehausser son milieu physique de travail.
« Imaginez un peu les gains de productivité pour votre organisation si votre personnel pouvait gagner une ou deux heures de travail supplémentaires par jour… Résultat : un meilleur équilibre vie professionnelle et vie privée, et de meilleurs rendements. Mes astuces pour favoriser la productivité sont les systèmes de bruit blanc, les matériaux qui atténuent les sons ambiants, les aires de travail privées et les services de soutien », insiste Willmott. « Lorsqu’il est question d’améliorer la productivité des équipes et de l’organisation dans son ensemble, je trouve que les aspects liés au bien-être, comme les tables de travail assis-debout et les salles de sieste, sont des investissements beaucoup plus rentables que les zones de loisir bruyantes. Et je propose un juste équilibre entre espaces ouverts et fermés. En réalité, les gens préfèrent cela aux concepts de bureau à aire ouverte ».
Des espaces de travail hors de l’ordinaire, bientôt offerts
L’arrivée d’iQ Offices promet de bouleverser le marché du coworking montréalais, en offrant des espaces et des services sans précédent ni comparaison à ceux actuellement disponibles à Montréal. iQ Offices offre bien plus que de fabuleux emplacements au design réfléchi, elle propose des caractéristiques uniques qui la distinguent des autres espaces de coworking, telles un studio de podcast, un barista sur place, une salle de relaxation ou de prière, des chaises de massage de luxe et un bureau-tapis roulant. Tous ces éléments correspondent aux besoins émergents des travailleurs et travailleuses de bureau.
À propos d’iQ Offices
En tant que leader canadien, iQ Offices offre des espaces de coworking et de bureaux partagés haut de gamme aux compagnies qui recherchent un environnement de travail adaptable, évolutif et multifonctionnel. Fondée en 2012, iQ Offices propose un portfolio qui couvre cinq régions, avec sept sites opérationnels et deux autres en cours de développement. À l’ouverture des portes de ses nouveaux sites, le portfolio d’iQ Offices comprendra plus de 3 500 postes de travail à l’échelle nationale. Pour plus d’information à propos d’iQ Offices, veuillez consulter notre site.
Méthodologie du sondage
*Ce sondage omnibus a été réalisé par Maru/Blue entre les 17 et 19 janvier 2020, au cours d’un sondage en ligne auprès de 1 524 adultes Canadiens choisis au hasard. La marge d’erreur du sondage est de +/- 2,5 points de pourcentage, 19 fois sur 20, et les résultats ont été pondérés selon les données de recensement pour s’assurer que l’échantillon total reflète le profil démographique du Canada relativement au niveau d’éducation, à l’âge, au sexe et à la région (et, au Québec, à la langue maternelle).
Le dossier de presse complet et les visuels sont disponibles ici.
Pour plus d’information ou entrevues :
Catherine Simard pour l’agence NEAT
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