Une nouvelle analyse issue de l’étude de Phase 3 CEPHEUS démontre que 85 pour cent des patients ayant atteint une MRM négative (10-6) avec le daratumumab par voie SC ne présentaient pas de progression à 4,5 ans1
L’étude AURIGA démontre des taux plus élevés de conversion de la MRM négative auprès des sous-groupes de patients touchés par le myélome multiple de façon disproportionnée2
L’analyse finale de l’étude de Phase 3 ANDROMEDA démontre que l’ajout du daratumumab au VCd améliore considérablement la survie globale chez les patients atteints d’amylose AL nouvellement diagnostiquée3
BEERSE, BELGIQUE, 11 déc. 2024 (GLOBE NEWSWIRE) -- Janssen-Cilag International NV, une société Johnson & Johnson, a annoncé la disponibilité de données mettant en évidence une amélioration des taux de négativité globale et prolongée de la maladie résiduelle minimale (MRM) et de survie sans progression (SSP) chez les patients atteints de myélome multiple nouvellement diagnostiqué (MMND), qu’ils aient ou non reçu une greffe, et auprès de patients présentant des caractéristiques de la maladie associées à un pronostic défavorable grâce à des schémas thérapeutiques à base de DARZALEX® (daratumumab) par voie sous-cutanée (SC)1,2,3. Ces résultats ont été démontrés dans le cadre d’une analyse étendue de la MRM dans l’étude de Phase 3 CEPHEUS (résumé n° 362) et dans le cadre d’une analyse post-hoc des sous-groupes pertinents sur le plan clinique dans l’étude AURIGA de Phase 3 (résumé n° 675). Ces deux analyses ont fait l’objet de présentations orales à l’occasion de l’édition 2024 du congrès annuel de l’American Society of Hematology (ASH), organisé à San Diego, Californie, (États-Unis), du 7 au 10 décembre.
Les données issues de l’analyse étendue de la MRM dans l’étude de Phase 3 CEPHEUS démontrent que l’ajout du daratumumab par voie SC au protocole bortézomib, lénalidomide et dexaméthasone (D-VRd) entraîne une amélioration et une plus grande profondeur des taux de négativité globale et prolongée de la MRM (tous deux associés à des seuils de sensibilité de 10-5 et 10-6 chez les patients ayant atteint une réponse complète ou au-delà) par rapport au VRd administré seul. Ces données démontrent également une amélioration significative de la SSP1. L’étude CEPHEUS est la cinquième étude de Phase 3 qui démontre que l’ajout de daratumumab améliore la profondeur et la durée de la réponse, entraînant ainsi une amélioration de la SSP dans le MMND2,4,5,6.
Après un suivi médian de 58,7 mois, les taux de négativité globale de la MRM étaient significativement plus élevés avec D-VRd par rapport à VRd à des seuils de sensibilité de 10-5 (60,9 pour cent contre 39,4 pour cent ; rapport de cote [RC] : 2,37 ; intervalle de confiance [IC] à 95 pour cent, 1,58-3,55 ; p<0,0001) et de 10-6 (46,2 pour cent contre 27,3 pour cent ; RC : 2,24 ; IC à 95 pour cent, 1,48-3,40 ; p = 0,0001)1. Le traitement par D-VRd a démontré un bénéfice continu en matière de négativité prolongée de la MRM pendant deux ans (10-5 : 42,1 pour cent contre 22,7 pour cent ; 10-6 : 27,9 pour cent contre 13,6 pour cent)1. De plus, les taux de négativité profonde et soutenue associés à D-VRd ont entraîné une amélioration de la SSP ; les taux estimés de SSP à 54 mois étaient de 86,2 pour cent pour D-VRd contre 79,0 pour cent pour le VRd chez les patients avec une MRM négative (10-6), et de 51,0 pour cent contre 36,5 pour cent chez les patients avec une MRM positive1.
« Cette analyse de l’étude CEPHEUS comparant le daratumumab-VRd au VRd a démontré des taux plus élevés de négativité globale et prolongée de la MRM ainsi que des tendances encourageantes en matière de survie sans progression », a déclaré la Dre Sonja Zweegman, titulaire d’un Doctorat, Responsable du Département d’Hématologie, de l’Amsterdam University Medical Centre*. « Ce schéma thérapeutique pourrait améliorer les résultats chez les patients atteints d’un myélome multiple nouvellement diagnostiqué qui ne remplissent pas les critères pour recevoir une greffe ou pour qui une greffe n’est pas prévue en tant que traitement initial. »
Comme indiqué précédemment, le profil d’innocuité globale associé au D-VRd correspondait aux profils d’innocuité connus du daratumumab et du VRd7. Les effets indésirables de nature hématologique et non hématologique de grade 3/4 les plus courants (> 10 pour cent) avec D-VRd par rapport à VRd étaient la neutropénie (44,2 pour cent contre 29,7 pour cent), la thrombopénie (28,4 pour cent contre 20,0 pour cent), l’anémie (13,2 pour cent contre 11,8 pour cent), les neuropathies périphériques (8,1 pour cent contre 8,2 pour cent), la diarrhée (12,2 pour cent contre 9,2 pour cent) et la COVID-19 (11,2 pour cent contre 4,6 pour cent)7.
L’ajout du daratumumab par voie SC à un schéma thérapeutique d’entretien a entraîné des taux de négativité de la MRM plus élevés dans les sous-groupes pertinents sur le plan clinique en fonction de l’âge, de l’appartenance ethnique, du stade de la maladie et du risque cytogénétique.
Dans le cadre d’une analyse post-hoc de l’étude de Phase 3 AURIGA, un schéma thérapeutique d’entretien à base de daratumumab par voie SC associé au lénalidomide (R) a conduit à une amélioration constante des taux de conversion de la MRM négative à 12 mois. Ces résultats étaient homogènes parmi tous les sous-groupes de patients naïfs d’anti-CD38 présentant une MRM positive après une autogreffe de cellules souches 2. Chez les patients âgés de plus de 65 ans, les taux de MRM négative étaient plus élevés avec un traitement d’entretien par D-R par rapport à un traitement par R seul (52,6 pour cent contre 17,5 pour cent ; RC : 5,24 ; IC à 95 pour cent, 1,86-14,74)2. Avec un traitement d’entretien par D-R, on a pu observer une conversion systématiquement plus élevée vers une MRM négative chez les patients noirs (n = 20) par rapport à un traitement avec R seul (60,0 pour cent contre 16,7 pour cent ; RC, 7,50 ; IC à 95 pour cent, 1,85-30,34) et chez les patients caucasiens (n = 67) (46,3 pour cent contre 20,6 pour cent, RC : 3,32 ; 1,55-7,10)2.
« Les patients de plus de 65 ans, les patients noirs et ceux atteints d’une maladie avancée ou à haut risque sont touchés de manière disproportionnée par le myélome multiple et ont historiquement accès à une quantité moindre d’options thérapeutiques capables d’offrir des résultats profonds et durables », a déclaré le Dr Imran Khan, titulaire d’un Doctorat, Vice-Président du Département des Affaires Médicales, Secteur Hématologie, Johnson & Johnson Innovative Medicine. « L’évaluation de la négativité de la MRM chez ces patients témoigne de son importance en tant qu’indicateur reconnu de la survie sans progression à long terme. Les données présentées à l’ASH cette année soulignent que le daratumumab par voie SC a le potentiel de permettre aux patients nouvellement diagnostiqués d’atteindre une MRM négative. »
Les données démontrent également que le schéma thérapeutique d’entretien par D-R a entraîné des taux de conversion de la MRM négative plus élevés parmi les patients atteints d’une maladie à un stade avancé (stade III), selon la définition de l’International Staging System (65,2 pour cent contre 13,0 pour cent ; RC, 12,50 ; IC à 95 pour cent, 2,83-55,25) et parmi les patients présentant un risque cytogénétique élevé, selon la définition standard (31,8 pour cent contre 6,7 pour cent ; RC, 6,53 ; IC à 95 pour cent : 0,71-60,05) ou selon la définition révisée (43,8 pour cent contre 13,3 pour cent ; RC : 5,06 ; IC à 95 pour cent, 1,43-17,88)2.
Les résultats d’innocuité correspondaient au profil d’innocuité connu du daratumumab par voie SC. Les événements indésirables apparus pendant le traitement (EIAT) de grade 3/4 les plus courants chez les patients âgés de 65 ans ou plus incluaient la neutropénie, la leucopénie et l’hypokaliémie2. Aucun problème d’innocuité inattendu n’a été observé dans ce groupe d’âge ou parmi les patients noirs2.
« Les données issues de CEPHEUS et d’AURIGA renforcent le rôle révolutionnaire que peuvent jouer les schémas thérapeutiques à base de daratumumab en tant que traitements de première ligne fondamentaux auprès de toutes les populations de patients, y compris dans le traitement d’entretien du myélome multiple nouvellement diagnostiqué chez les patients éligibles à une greffe », a déclaré Edmond Chan, titulaire d’un Bachelor en Médecine et Chirurgie, Docteur en Médecine (Résident), Responsable du Domaine Thérapeutique de l’Hématologie pour la région EMEA, Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Les données issues d’ANDROMEDA viennent s’ajouter à la liste déjà longue de données probantes issues d’études de Phase 3 qui démontrent le bénéfice des schémas thérapeutiques à base de daratumumab en matière de survie globale chez les personnes présentant des troubles hématologiques difficiles à traiter. »
L’analyse finale de l’étude de Phase 3 ANDROMEDA renforce la conviction qu’un schéma thérapeutique à base de daratumumab par voie SC permet d’atteindre une survie globale significative chez les patients atteints d’amylose à chaînes légères (AL) nouvellement diagnostiquée
L’analyse finale de l’étude de Phase 3 ANDROMEDA a également été présentée (résumé n° 891), démontrant que l’ajout du daratumumab par voie SC au bortézomib, cyclophosphamide et dexaméthasone (D-VCd) a permis d’observer des réponses plus profondes et plus rapides sur le plan hématologique, entraînant une amélioration statistiquement significative à la fois de la SG et de la SSP sans dégradation des organes majeurs (SSP-DOM) (c.-à-d., maladie rénale ou cardiaque au stade terminal, progression hématologique ou décès) pour les patients atteints d’amylose AL nouvellement diagnostiquée, un trouble rare des plasmocytes associé à la détérioration des organes vitaux3. Après un suivi médian de 61,4 mois, on a observé chez les patients traités par D-VCd une réduction de 56 pour cent du risque de maladie rénale ou cardiaque au stade terminal, de progression hématologique ou de décès (rapport de risque [RR] = 0,44, p<0,0001)3. La SSP-DOM médiane n’a pas été atteinte avec le D-VCd, et elle était de 30,2 mois avec le VCd3. De plus, le D-VCd a également démontré des bénéfices significatifs en matière de survie avec un RR de 0,62 (p=0,0121), indiquant une réduction de 38 pour cent du risque de décès par rapport au VCd3. Le taux de survie à cinq ans était de 76,1 pour cent avec le D-VCd, contre 64,7 pour cent avec le VCd3. Les résultats en matière d’innocuité correspondaient aux profils d’innocuité connus pour le daratumumab et le VCd, et les EIAT de grade 3/4 les plus courants (≥ 5 pour cent) étant la lymphopénie (13,0 pour cent contre 10,0 pour cent), la pneumonie (8,0 pour cent contre 4,0 pour cent), la diarrhée (6,0 pour cent contre 4,0 pour cent), l’insuffisance cardiaque (congestive ; 6,0 pour cent contre 3,0 pour cent), la neutropénie (5,0 pour cent contre 3,0 pour cent), la syncope (6,0 pour cent contre 6,0 pour cent), la fatigue (5,0 pour cent contre 3,0 pour cent), l’hypokaliémie (2,0 pour cent contre 5,0 pour cent) et l’œdème périphérique (3,0 pour cent contre 6,0 pour cent) respectivement3.
À propos de l’étude CEPHEUS
CEPHEUS (NCT03652064) est une étude internationale randomisée ouverte de Phase 3 comparant le protocole par daratumumab, bortézomib, lénalidomide et dexaméthasone (D-VRd) par voie sous-cutanée au protocole standard par bortézomib, lénalidomide et dexaméthasone (VRd)7,8. 395 patients atteints de myélome multiple nouvellement diagnostiqué, non éligibles à une greffe de cellules souches (GSC) ou pour lesquels une GSC n’était pas prévue, ont été inclus dans l’essai7. Le critère d’évaluation principal était le taux de négativité globale de la MRM7. L’âge minimum de participation était de 18 ans pour les patients inclus dans les bras D-VRd et VRd, avec un âge médian pour les patients de 70 ans (intervalle 31-80)7. L’étude a été réalisée dans 13 pays en Amérique du Nord, en Amérique du Sud et en Europe.
À propos de l’étude AURIGA
AURIGA (NCT03901963) est une étude randomisée dans laquelle 200 patients âgés de 18 à 79 ans atteints d’un myélome multiple nouvellement diagnostiqué et présentant une MRM positive après une autogreffe de cellules souches en première ligne ont été inclus9. Les patients ont reçu 1800 mg de daratumumab par injection sous-cutanée en association avec du lénalidomide (par voie orale) en tant que traitement d’entretien, pendant un maximum de 36 cycles2,6. Chaque cycle était d’une durée de 28 jours2. Les patients inclus dans le bras témoin ont reçu du lénalidomide (par voie orale) seul en tant que traitement d’entretien, pendant un maximum de 36 cycles2.
À propos de l’étude ANDROMEDA
ANDROMEDA (NCT03201965) est une étude de Phase 3 randomisée et ouverte en cours, évaluant l’innocuité et l’efficacité du daratumumab par voie SC en association avec le protocole bortézomib, cyclophosphamide et dexaméthasone (D-VCd), par rapport au VCd seul, dans le traitement des patients adultes atteints d’amylose à chaîne légère (AL) nouvellement diagnostiquée10. 388 patients atteints d’amylose AL nouvellement diagnostiquée, présentant une maladie hématologique mesurable et chez qui un ou plusieurs organes étaient touchés ont été inclus dans l’étude3. Le critère d’évaluation principal est le taux de réponse hématologique complète global en intention de traiter3. Les patients ont reçu du daratumumab à des doses de 800 mg/30 000 unités, administré par voie sous-cutanée (SC) une fois par semaine de la semaine 1 à la semaine 8, une fois toutes les deux semaines de la semaine 9 à la semaine 24, puis une fois toutes les quatre semaines à partir de la semaine 25 et jusqu’à progression de la maladie, toxicité inacceptable ou pendant une durée maximale de deux ans3. Parmi les patients ayant reçu du D-VCd, 74 pour cent ont été exposés au traitement pendant 6 mois ou plus, et 32 pour cent ont été exposés pendant plus d’un an11.
À propos du daratumumab et du daratumumab par voie SC
Johnson & Johnson s’est engagé à explorer le potentiel du daratumumab pour les patients atteints d’un myélome multiple dans tous les aspects de la maladie.
En août 2012, Janssen Biotech, Inc., une société de Johnson & Johnson, et Genmab A/S ont conclu un accord mondial accordant à Johnson & Johnson une licence exclusive pour développer, fabriquer et commercialiser le daratumumab. Depuis son lancement, le daratumumab est devenu une thérapie fondamentale dans le traitement du myélome multiple, et a été utilisé pour traiter plus de 585 000 patients dans le monde entier12. Le daratumumab est le seul anticorps dirigé contre CD38 dont l’administration par voie sous-cutanée est autorisée pour traiter les patients atteints d’un myélome multiple13. Le daratumumab par voie SC est coformulé avec de l’hyaluronidase humaine recombinante PH20 (rHuPH20), la technologie d’administration de médicaments ENHANZE® de Halozyme14.
CD38 est une protéine de surface présente en grand nombre sur les cellules du myélome multiple, quel que soit le stade de la maladie14. Le daratumumab se lie à CD38 et inhibe la croissance des cellules tumorales, entraînant la mort des cellules du myélome14. Le daratumumab peut également avoir un effet sur les cellules normales14. Les données issues de dix essais cliniques de Phase 3, tant en première ligne qu’en rechute, ont révélé que les schémas thérapeutiques à base de daratumumab entraînaient une amélioration significative de la survie sans progression et/ou de la survie globale1,13,14,15,16,17,18,19,20,21.
Pour plus d’informations sur le daratumumab, veuillez consulter le résumé des caractéristiques du produit sur : https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/darzalex-epar-product-information_en.pdf22.
À propos du myélome multiple
Le myélome multiple est un cancer du sang actuellement incurable qui touche un type de globules blancs appelés plasmocytes, que l’on trouve dans la moelle osseuse23,24. Dans le cas du myélome multiple, ces plasmocytes cancéreux continuent de proliférer, s’accumulent dans l’organisme et supplantent les cellules sanguines normales, et entraînent souvent une destruction osseuse et d’autres complications graves25. Au sein de l’Union européenne, on estime que plus de 35 000 personnes ont reçu un diagnostic de myélome multiple en 2022 et que plus de 22 700 patients en sont décédés26. Si certains patients atteints de myélome multiple ne présentent initialement aucun symptôme, d’autres peuvent présenter des signes et symptômes fréquents de la maladie, pouvant inclure des fractures ou des douleurs osseuses, un faible taux de globules rouges, de la fatigue, des taux de calcium élevés, des infections ou des lésions rénales22.
À propos de l’amylose AL
L’amylose à chaînes légères (AL) est un trouble hématologique rare et potentiellement mortel qui peut altérer les fonctions de plusieurs organes27. La maladie survient lorsque la moelle osseuse produit des protéines anormales, appelées chaînes légères, qui s’enchevêtrent pour former une substance appelée amyloïde27. Ces amas d’amyloïde se déposent dans les tissus et les organes vitaux et altèrent les fonctions normales des organes, et finissent par provoquer leur détérioration27,28. L’amylose AL est le type d’amylose systémique le plus courant29. Elle touche fréquemment le cœur, les reins, le tube digestif, le foie et le système nerveux30. Le diagnostic est souvent retardé et le pronostic est défavorable en raison d’une atteinte avancée au niveau de plusieurs organes, en particulier du cœur31. Environ 30 000 à 45 000 patients au sein de l’Union européenne et aux États-Unis sont atteints d’amylose AL30.
À propos de Johnson & Johnson
Chez Johnson & Johnson, nous pensons que la santé est au cœur de tout. Nous sommes force d’innovation dans le domaine des soins de santé et nous bâtissons un monde où les maladies complexes sont évitées, traitées et guéries, où les traitements sont plus intelligents et moins invasifs, et où les solutions sont personnalisées. Grâce à notre expertise en matière d’innovation au service de la médecine et de technologie médicale, nous sommes particulièrement bien placés pour apporter un souffle nouveau à l’ensemble des solutions de santé d’aujourd’hui afin de réaliser les percées de demain et d’avoir un impact profond sur la santé de l’humanité.
Pour en savoir plus, consultez le site : www.innovativemedicine.jnj.com/emea. Suivez-nous sur www.linkedin.com/company/jnj-innovative-medicine-emea. Janssen Pharmaceutica NV, Janssen-Cilag Limited, Janssen Biotech, Inc. et Janssen Research & Development, LLC sont des sociétés de Johnson & Johnson.
Mises en garde concernant les déclarations prospectives
Le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives » au sens de la loi américaine Private Securities Litigation Reform Act de 1995 à propos du développement, des bénéfices et de l’impact thérapeutique potentiels du daratumumab. Il est conseillé au lecteur de ne pas s’y fier indûment. Ces déclarations reposent sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avéraient inexactes ou si des risques ou incertitudes connus ou inconnus se matérialisaient, les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes et des projections de Janssen Pharmaceutica NV, Janssen-Cilag Limited, Janssen Biotech, Inc., Janssen Research & Development, LLC, et/ou Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes comprennent, sans s’y limiter, les défis et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, y compris l’incertitude du succès clinique et de l’obtention des autorisations réglementaires ; l’incertitude du succès commercial ; la concurrence, y compris les progrès technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par les concurrents ; les contestations de brevets ; les changements dans le comportement et les habitudes de dépenses des acheteurs de produits et services de soins de santé ; les changements dans les lois et réglementations applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé ; et les tendances en matière de maîtrise des coûts des soins de santé. Une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs figurent dans le rapport annuel de Johnson & Johnson déposé sous formulaire 10-K pour l’exercice clos le 31 décembre 2023, y compris aux rubriques intitulées « Mises en garde relatives aux déclarations prospectives » et « Alinéa 1A. Facteurs de risque » et dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson sous formulaire 10-Q et autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des exemplaires de ces documents sont disponibles en ligne à l’adresse http://www.sec.gov/, http://www.jnj.com/ ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Aucune des sociétés pharmaceutiques suivantes ne s’engage à mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de nouvelles informations ou d’événements ou développements futurs : Janssen Pharmaceutica NV, Janssen-Cilag Limited, Janssen Biotech, Inc., Janssen Research & Development, LLC, Johnson & Johnson.
*La Dre Sonja Zweegman, titulaire d’un Doctorat, Responsable du Département d’Hématologie de l’Amsterdam University Medical Centre, a fourni des services de consultation, de conseil et de porte-parole à Janssen ; elle n’a reçu aucune rémunération pour un quelconque travail auprès des médias.
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1 Zweegman S at al., Daratumumab + Bortezomib, Lenalidomide and Dexamethasone (VRd) Versus VRd Alone in Patients with Newly Diagnosed Multiple Myeloma Ineligible for SCT or for Whom SCT is Not Planned as Initial Therapy: Analysis of Minimal Residual Disease in the Phase 3 CEPHEUS Trial. Présentation orale. Congrès annuel de l’American Society of Hematology (ASH) ; du 7 au 10 décembre 2024.
2 Foster L et al., Daratumumab Plus Lenalidomide (D-R) Versus Lenalidomide (R) Alone as Maintenance Therapy in Newly Diagnosed Multiple Myeloma (NDMM) After Transplant: Analysis of the Phase 3 AURIGA Study Among Clinically Relevant Subgroups. Présentation orale. Congrès annuel de l’American Society of Hematology (ASH) ; du 7 au 10 décembre 2024.
3 Kastritis E et al., Subcutaneous Daratumumab (DARA) + Bortezomib, Cyclophosphamide, and Dexamethasone (VCd) in Patients With Newly Diagnosed Light Chain (AL) Amyloidosis: Final Analysis of the Phase 3 ANDROMEDA Study. Abstract #891. Congrès annuel de l’American Society of Hematology (ASH) ; du 7 au 10 décembre 2024.
4 Rodríguez-Otero P, et al. Daratumumab (DARA) + bortezomib/lenalidomide/dexamethasone (VRd) in transplant-eligible (TE) patients (pts) with newly diagnosed multiple myeloma (NDMM): Analysis of minimal residual disease (MRD) in the PERSEUS trial. Congrès annuel 2024 de l’American Society for Clinical Oncology. 3 juin 2024.
5 Corre, J., et al. Daratumumab (DARA) + Bortezomib/Thalidomide/ Dexamethasone (D-VTd) and DARA Maintenance in Transplanteligible Newly Diagnosed Multiple Myeloma (NDMM): CASSIOPEIA Minimal Residual Disease (MRD) Update. IMS 2024. 27 septembre 2024.
6 San-Miguel J., et al., Sustained minimal residual disease negativity in newly diagnosed multiple myeloma and the impact of daratumumab in MAIA and ALCYONE, Blood 2022
7 Usmani, S Z. et al. Daratumumab + Bortezomib/Lenalidomide/Dexamethasone in Patients With Transplant-ineligible or Transplant-deferred Newly Diagnosed Multiple Myeloma: Results of the Phase 3 CEPHEUS Study. Présentation orale. 21e congrès annuel de l’International Myeloma Society (IMS). du 25 au 28 septembre 2024.
8 Clinicaltrials.gov. A Study Comparing Daratumumab, VELCADE (Bortezomib), Lenalidomide, and Dexamethasone (D-VRd) With VELCADE, Lenalidomide, and Dexamethasone (VRd) in Participants With Untreated Multiple Myeloma and for Whom Hematopoietic Stem Cell Transplant is Not Planned as Initial Therapy. Disponible à l’adresse : https://clinicaltrials.gov/study/NCT03652064. Dernière consultation : décembre 2024.
9 Clinicaltrials.gov. A Study of Daratumumab Plus Lenalidomide Versus Lenalidomide Alone as Maintenance Treatment in Participants With Newly Diagnosed Multiple Myeloma Who Are Minimal Residual Disease Positive After Frontline Autologous Stem Cell Transplant (AURIGA). Disponible à l’adresse : https://clinicaltrials.gov/study/NCT03901963. Dernière consultation : décembre 2024.
10 Clinicaltrials.gov. A Study to Evaluate the Efficacy and Safety of Daratumumab in Combination With Cyclophosphamide, Bortezomib and Dexamethasone (CyBorD) Compared to CyBorD Alone in Newly Diagnosed Systemic Amyloid Light-chain (AL) Amyloidosis. Disponible à l’adresse : https://clinicaltrials.gov/study/NCT03201965. Dernière consultation : décembre 2024.
11 Johnson & Johnson. Subcutaneous Daratumumab Combination Resulted in Deep and Rapid Hematologic Responses and Improved Clinical Outcomes in the Treatment of Patients with Newly Diagnosed Light Chain (AL) Amyloidosis. Disponible à l’adresse : DARZALEX FASPRO® (daratumumab and hyaluronidase-fihj) Becomes the First FDA-Approved Treatment for Patients with Newly Diagnosed Light Chain (AL) Amyloidosis
12 Johnson & Johnson [données internes]. RF-430506. Nombre de patients traités par DARZALEX®▼ dans le monde entier au 30 juin 2024.
13 Janssen EMEA. European Commission Grants Marketing Authorisation for DARZALEX®▼(Daratumumab) Subcutaneous Formulation for All Currently Approved Daratumumab Intravenous Formulation Indications. Disponible à l’adresse : www.businesswire.com/news/home/20200604005487/en/European-Commission-GrantsMarketingAuthorisation-for-DARZALEX%C2%AE%E2%96%BC-daratumumab-SubcutaneousFormulation-for-all-CurrentlyApproved-Daratumumab-Intravenous-Formulation-Indications. Dernière consultation : décembre 2024.
14 Facon T, et al. MAIA Trial Investigators. Daratumumab plus Lenalidomide and Dexamethasone for Untreated Myeloma. N Engl J Med 2019;380(22):2104-2115
15 Moreau P, et al. Bortezomib, thalidomide, and dexamethasone with or without daratumumab before and after autologous stem-cell transplantation for newly diagnosed multiple myeloma (CASSIOPEIA): a randomised, openlabel, phase 3 study. Lancet 2019;394(10192):29-38.
16 Mateos MV, et al. Overall survival with daratumumab, bortezomib, melphalan, and prednisone in newly diagnosed multiple myeloma (ALCYONE): a randomised, open-label, phase 3 trial. The Lancet 2020;395:P132-141.
17 Dimopoulos MA, et al. APOLLO Trial Investigators. Daratumumab plus pomalidomide and dexamethasone versus pomalidomide and dexamethasone alone in previously treated multiple myeloma (APOLLO): an open-label, randomised, phase 3 trial. Lancet Oncol 2021;22(6):801-812.
18 Palladini G, et al. Daratumumab plus CyBorD for patients with newly diagnosed AL amyloidosis: safety run-in results of ANDROMEDA. Blood 2020;2;136(1):71-80.
19 Chari A, et al. Daratumumab plus pomalidomide and dexamethasone in relapsed and/or refractory multiple myeloma. Blood 2017;130(8):974-981.
20 Bahlis NJ, et al. Daratumumab plus lenalidomide and dexamethasone in relapsed/refractory multiple myeloma: extended follow-up of POLLUX, a randomized, open-label, phase 3 study. Leukemia 2020;34(7):1875-1884.
21 Mateos MV, et al. Daratumumab, Bortezomib, and Dexamethasone Versus Bortezomib and Dexamethasone in Patients With Previously Treated Multiple Myeloma: Three-year Follow-up of CASTOR. Clin Lymphoma Myeloma Leuk 2020;20(8):509-518.
22 Agence européenne des médicaments. Résumé des caractéristiques du produit de DARZALEX. Disponible à l’adresse : https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/darzalex-epar-product-information_en.pdf. Dernière consultation : décembre 2024.
23 Abdi J, et al. Drug resistance in multiple myeloma: latest findings on molecular mechanisms. Oncotarget 2013;4(12):2186-2207.
24 American Society of Clinical Oncology. Multiple myeloma: introduction. Disponible à l’adresse : https://www.cancer.net/cancer-types/multiple-myeloma/introduction. Dernière consultation : décembre 2024.
25 American Cancer Society. Multiple myeloma: early detection, diagnosis and staging. Disponible à l’adresse : https://www.cancer.org/content/dam/CRC/PDF/Public/8740.00.pdf. Dernière consultation : décembre 2024.
26 ECIS - European Cancer Information System. Estimates of cancer incidence and mortality in 2022, by country. Multiple myeloma. Disponible à l’adresse : https://ecis.jrc.ec.europa.eu/explorer.php?$0-0$1-All$2-All$4-1,2$3-51$6-0,85$5-2022,2022$7-7$CEstByCountry$X0_8-3$X0_19-AE27$X0_20-No$CEstBySexByCountry$X1_8-3$X1_19-AE27$X1_-1-1$CEstByIndiByCountry$X2_8-3$X2_19-AE27$X2_20-No$CEstRelative$X3_8-3$X3_9-AE27$X3_19-AE27$CEstByCountryTable$X4_19-AE27. Dernière consultation : décembre 2024.
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CP-492203
décembre 2024
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