Les résultats récents de l’étude PALOMA-2 sur RYBREVANT®▼ (amivantamab) administré par voie sous-cutanée en association avec le lazertinib démontrent une réponse antitumorale cliniquement significative et un profil d’innocuité amélioré chez les patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules avec mutations de l’EGFR


Réactions liées à la perfusion nettement moins nombreuses avec l’amivantamab administré par voie sous-cutanée qu’avec l’administration par voie intraveineuse, selon les nouvelles données de la Phase 21

BEERSE, BELGIQUE, 07 juin 2024 (GLOBE NEWSWIRE) -- Janssen-Cilag International NV, une société Johnson & Johnson, a annoncé ce jour de nouvelles données issues de l’étude de Phase 2 PALOMA-2 visant à évaluer l’amivantamab par voie sous-cutanée (SC) associé au lazertinib en guise de traitement de première intention chez des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé avec mutations par délétion de l’exon 19 (ex19del) ou L858R du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR).1 Ces données, qui ont fait l’objet d’une présentation de poster de dernière minute lors de la réunion annuelle 2024 de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) (résumé no LBA8612) se déroulant à Chicago, dans l’État de l’Illinois, du 31 mai au 4 juin 2024, ont indiqué un taux de réponse comparable chez les patients traités par amivantamab par voie SC et lazertinib par rapport à ceux traités par la formulation intraveineuse (IV) dans le cadre de l’étude MARIPOSA.1 L’amivantamab administré par voie SC a été associé à des taux significativement plus faibles de réactions liées à la perfusion (RLP, 15 pour cent tous grades confondus contre 63 pour cent) et à une durée d’administration plus courte par rapport à la formulation IV.1

« Ces données encourageantes révèlent des taux de réponse similaires chez les patients traités par administration sous-cutanée d’amivantamab par rapport à la formulation IV, » a déclaré le professeur Nicolas Girard, Chef du Service d’Oncologie Médicale de l’Institut Curie et Professeur d’Oncologie Thoracique et de Médecine Respiratoire à l’Université Paris Saclay (France), auteur de l’étude.* « De par une tolérance favorable basée sur un nombre réduit de réactions liées à la perfusion, cette formulation est susceptible de répondre à un besoin actuel non satisfait dans le traitement du cancer du poumon avec mutations de l’EGFR. »

Au cours de l’étude PALOMA-2, les Cohortes 1 et 6 ont recruté des patients atteints d’un CPNPC avancé avec mutations par ex19del ou L858R de l’EGFR, naïfs de traitement, une population de patients similaire à celle de l’étude MARIPOSA.1 Dans la Cohorte 1, l’utilisation d’une anticoagulothérapie prophylactique était recommandée, et dans la Cohorte 6, elle était requise.1 Au 6 janvier 2024, 68 et 58 patients ont été recrutés dans les Cohortes 1 et 6, respectivement.1 Après un suivi médian de 8,6 mois, chez tous les patients, l’amivantamab par voie SC associé au lazertinib a démontré un taux de réponse global (TRG) de 77 pour cent (intervalle de confiance [IC] à 95 pour cent, 68–84) tel que déterminé par l’évaluation de l’investigateur selon les critères RECIST v1.1** (critère d’évaluation principal) et de 79 pour cent (IC à 95 pour cent, 70–86) tel que déterminé par l’évaluation d’un comité indépendant de relecture centralisée en aveugle.1 Un TRG similaire de 86 pour cent (IC à 95 pour cent, 83–89) a été observé avec l’amivantamab par voie IV en association avec le lazertinib, tel que déterminé par l’évaluation d’un comité indépendant de relecture centralisée en aveugle dans l’étude de Phase 3 MARIPOSA.1 La durée d’administration moyenne était d’environ cinq minutes par rapport à l’administration IV de 2–4 heures.2 La durée médiane de la réponse n’a pas pu être estimée dans les deux cohortes.1

« Ces résultats prometteurs pour les patients atteints d’un cancer du poumon avec mutations de l’EGFR révèlent que l’efficacité de l’amivantamab par voie sous-cutanée est comparable à celle de la formulation IV et, en outre, qu’il pourrait constituer une option plus pratique pour les patients et leurs soignants, » a déclaré le Dr Henar Hevia, Ph.D, Directrice Principale et Responsable du Secteur Thérapeutique en Oncologie pour la Région EMOA chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Chez J&J, nous nous concentrons sur les domaines dans lesquels nous pensons pouvoir véritablement remanier les soins du cancer, notamment en optimisant les expériences des patients en matière de traitement. »

L’analyse combinée des Cohortes 1 et 6 a révélé que le profil d’innocuité de l’amivantamab par voie SC était cohérent avec les rapports précédents, sans qu’aucun nouveau signal de sécurité n’ait été identifié.1 Les effets indésirables (EI) les plus fréquents (≥ 20 pour cent) observés chez tous les patients étaient la paronychie (71 pour cent), les éruptions cutanées (61 pour cent) et l’hypoalbuminémie (48 pour cent).1 Des RLP ont été rapportées chez 15 pour cent des patients dans les deux cohortes.1 L’arrêt de tous les médicaments en raison d’EI liés au traitement a concerné environ neuf pour cent de l’ensemble des patients.1 Une anticoagulothérapie prophylactique a été administrée à 71 pour cent des patients de la Cohorte 1 et à 100 pour cent de ceux de la Cohorte 6.1 Des événements thromboemboliques veineux (ETEV) ont été rapportés chez 18 et 7 pour cent des patients des Cohortes 1 et 6, respectivement, sans qu’aucune réduction de dose ou interruption de traitement ne soit rapportée en raison d’ETEV.1 Ces résultats suggèrent qu’une anticoagulothérapie prophylactique peut être instaurée et réduire l’incidence des ETEV avec l’association d’amivantamab et de lazertinib.1

« Les données d’innocuité et de tolérance de l’étude PALOMA-2 soulignent le potentiel de l’amivantamab sous-cutané en tant que thérapie importante dans le traitement de première ligne des patients atteints d’un cancer du poumon avec mutations de l’EGFR, » a déclaré Kiran Patel, M.D., , Vice-Président du Développement Clinique dans le Domaine des Tumeurs Solides chez Johnson & Johnson Innovative Medicine. « Alors que nous faisons progresser notre pipeline et notre gamme de produits pour les patients atteints d’un cancer du poumon, nous restons déterminés à développer des traitements efficaces offrant des bénéfices distincts dans le traitement de cette maladie. »

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À propos de l’étude PALOMA-2
PALOMA-2 (NCT05498428) est une étude en ouvert de Phase 2 visant à évaluer l’efficacité, l’innocuité et la pharmacocinétique (PK) de l’amivantamab administré par voie SC en guise de traitement de première intention (administré par injection manuelle) associé au lazertinib et/ou à une chimiothérapie chez des patients atteints d’un CPNPC avancé ou métastatique avec mutations de l’EGFR.3 Au total, 68 et 58 patients ont été recrutés dans les Cohortes 1 et 6, respectivement. L’anticoagulothérapie prophylactique pendant les quatre premiers mois de traitement était recommandée dans la Cohorte 1 et obligatoire dans la Cohorte 6.3 Le critère d’évaluation principal était le taux de réponse objective (TRO) tel que déterminé par l’évaluation de l’investigateur selon les critères RECIST v1.1.3

À propos de l’amivantamab
L’amivantamab est un anticorps bispécifique EGFR-MET entièrement humain doté d’une activité de direction des cellules immunitaires qui cible les tumeurs présentant des mutations activatrices et résistantes de l’EGFR ainsi que des mutations et amplifications du MET.4,5,6,7,8

La Commission européenne (CE) a accordé une autorisation de mise sur le marché conditionnelle à l’amivantamab en décembre 2021 pour le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations par insertion dans l’exon 20 du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR), après l’échec d’un traitement à base de platine.9 L’amivantamab est le premier traitement autorisé dans l’Espace économique européen ciblant spécifiquement les mutations par insertion dans l’exon 20 de l’EGFR pour le CPNPC.9 En novembre 2023, une demande d’extension d’indication de type II a été déposée auprès de l’Agence européenne des médicaments (EMA) en vue d’obtenir l’autorisation d’utiliser l’amivantamab en association avec une chimiothérapie (carboplatine et pémétrexed) pour le traitement des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de substitution ex19del ou L858R de l’EGFR, après l’échec d’un traitement antérieur comprenant un inhibiteur de la tyrosine kinase (ITK) de l’EGFR de troisième génération.10 En février 2024, une demande d’extension d’indication de type II a été déposée auprès de l’Agence européenne des médicaments (EMA) pour l’amivantamab, en association avec le lazertinib, pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations par délétion de l’exon 19 (ex19del) ou substitution de l’exon 21 (L858R) de l’EGFR fréquentes.11 En avril 2024, le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) a émis un avis favorable sur l’utilisation de l’amivantamab en association avec une chimiothérapie à base de carboplatine et de pémétrexed, pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations par insertion dans l’exon 20 de l’EGFR.12

Le vendredi 31 mai 2024, Johnson & Johnson a annoncé le dépôt auprès de l’EMA d’une demande d’extension de l’autorisation de mise sur le marché de l’amivantamab (extension de gamme) visant à obtenir l’autorisation de l’utilisation d’une formulation sous-cutanée (SC) de l’amivantamab en association avec le lazertinib pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations par délétion de l’exon 19 ou L858R de l’EGFR, et pour l’utilisation de l’amivantamab par voie SC chez les patients adultes atteints d’un CPNPC avancé avec mutations activatrices par insertion dans l’exon 20 de l’EGFR après l’échec d’un traitement à base de platine.13

Outre l’étude PALOMA-2, l’amivantamab fait l’objet de plusieurs essais cliniques sur le CPNPC, notamment :

  • L’étude PALOMA de Phase 1 (NCT04606381) visant à évaluer la faisabilité de l’administration sous-cutanée de l’amivantamab sur la base de l’innocuité et de la pharmacocinétique et à déterminer une dose, un schéma posologique et une formulation pour l’administration sous-cutanée de l’amivantamab.14

  • L’étude PALOMA-3 de Phase 3 (NCT05388669) visant à évaluer le lazertinib associé à l’amivantamab par voie sous-cutanée par rapport à l’amivantamab par voie intraveineuse chez des patients atteints d’un CPNPC avancé ou métastatique avec mutations de l’EGFR.15

  • L’étude PAPILLON de Phase 3 (NCT04538664) visant à évaluer l’amivantamab en association avec le carboplatine-pémétrexed par rapport à la chimiothérapie seule dans le traitement de première intention des patients atteints d’un CPNPC avancé ou métastatique avec mutations par insertion dans l’exon 20 de l’EGFR.16

  • L’étude MARIPOSA-2 de Phase 3 (NCT04988295) visant à évaluer l’efficacité de l’association de l’amivantamab (avec ou sans lazertinib) avec le carboplatine-pémétrexed par rapport au carboplatine-pémétrexed seul chez les patients atteints d’un CPNPC localement avancé ou métastatique avec mutations de substitution ex19del ou L858R de l’EGFR, et qui présentent une progression de la maladie pendant ou après un traitement par osimertinib.17

  • L’étude MARIPOSA de Phase 3 (NCT04487080) visant à évaluer l’amivantamab en association avec le lazertinib par rapport à l’osimertinib et par rapport au lazertinib en monothérapie dans le traitement de première intention des patients atteints d’un CPNPC localement avancé ou métastatique avec mutations de substitution ex19del ou L858R de l’EGFR.18

  • L’étude CHRYSALIS de Phase 1 (NCT02609776) visant à évaluer l’amivantamab chez des patients atteints d’un CPNPC avancé.19

  • L’étude CHRYSALIS-2 de Phase 1/1b (NCT04077463) visant à évaluer l’amivantamab en association avec le lazertinib et le lazertinib en monothérapie chez des patients atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR.20

  • L’étude METalmark de Phase 1/2 (NCT05488314) visant à évaluer l’amivantamab et le capmatinib en association dans le CPNPC localement avancé ou métastatique.21

  • L’étude PolyDamas de Phase 1/2 (NCT05908734) visant à évaluer l’amivantamab et le cétrélimab en association dans le CPNPC localement avancé ou métastatique.22

  • L’étude SKIPPirr de Phase 2 (NCT05663866) visant à explorer les moyens de diminuer l’incidence et/ou la sévérité des réactions liées à la perfusion de la première dose d’amivantamab en association avec le lazertinib dans le CPNPC avancé ou métastatique avec mutations de l’EGFR en rechute ou réfractaire.23

Pour obtenir une liste complète des effets indésirables et des informations concernant la posologie et l’administration, les contre-indications et les autres précautions d’emploi de l’amivantamab, veuillez consulter le résumé des caractéristiques du produit.9

▼ Conformément à la réglementation de l’EMA relative aux nouveaux médicaments, l’amivantamab fait l’objet d’une surveillance supplémentaire.

À propos du cancer du poumon non à petites cellules 
En Europe, on estime que 484 306 personnes ont reçu un diagnostic de cancer du poumon en 2022.24 Le CPNPC représente 85 pour cent de tous les cas de cancer du poumon.25 Le cancer du poumon est le cancer le plus meurtrier en Europe, avec plus de décès que le cancer du sein et le cancer de la prostate réunis.24

Les principaux sous-types de CPNPC sont l’adénocarcinome, le carcinome épidermoïde et le carcinome à grandes cellules.25 Parmi les mutations conductrices les plus fréquentes dans le CPNPC figurent les altérations de l’EGFR, qui est un récepteur à activité tyrosine kinase contrôlant la croissance et la division cellulaires.25,26 Les mutations de l’EGFR sont présentes chez 10 à 15 pour cent des patients occidentaux atteints d’un CPNPC avec une histologie d’adénocarcinome et chez 40 à 50 pour cent des patients asiatiques.27,28,29,30 Les mutations ex19del de l’EGFR ou L858R de l’EGFR sont les mutations de l’EGFR les plus fréquentes.31 Le taux de survie à cinq ans pour tous les patients atteints d’un CPNPC avancé avec mutations de l’EGFR et traités par des ITK de l’EGFR est inférieur à 20 pour cent.32,33 Les mutations par insertion dans l’exon 20 de l’EGFR constituent la troisième mutation de l’EGFR activatrice la plus répandue.34 Les patients présentant des mutations ex19del ou L858R de l’EGFR ont une SG à cinq ans en conditions réelles de huit pour cent en première intention, ce qui est moins bon que les patients présentant des mutations ex19del ou L858R de l’EGFR, dont la SG à cinq ans en conditions réelles est de 19 pour cent.35 En outre, il a été démontré qu’environ 50 pour cent des patients atteints d’un CPNPC développeront des métastases cérébrales, contribuant de manière substantielle à la mortalité globale due au cancer.36,37,38

À propos de Johnson & Johnson   
Chez Johnson & Johnson, nous pensons que la santé est essentielle. Notre force d’innovation en matière de soins de santé nous permet de construire un monde où les maladies complexes sont prévenues, traitées et guéries, où les traitements sont plus intelligents et moins invasifs, et où les solutions sont personnalisées. Grâce à notre expertise en matière de médecine innovante et de technologie médicale, nous sommes particulièrement bien placés pour innover dans l’ensemble des solutions de santé d’aujourd’hui afin de réaliser les percées de demain et d’avoir un impact profond sur la santé de l’humanité.

Pour en savoir plus, consultez le site www.janssen.com/emea. Suivez-nous sur www.linkedin.com/company/jnj-innovative-medicine-emea. Janssen-Cilag International NV est une société de Johnson & Johnson.

Mises en garde concernant les déclarations prospectives
Le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives », telles que définies dans le Private Securities Litigation Reform Act de 1995, concernant le développement des produits et les bénéfices potentiels ainsi que l’impact du traitement par amivantamab et lazertinib. Le lecteur est invité à ne pas se fier à ces déclarations prospectives. Ces déclarations sont basées sur les attentes actuelles d’événements futurs. Si les hypothèses sous-jacentes s’avèrent inexactes ou si des risques ou incertitudes connus ou inconnus se matérialisent, les résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes et des projections de Janssen-Cilag International NV et de Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes incluent, sans s’y limiter : les défis et incertitudes inhérents à la recherche et au développement de produits, y compris l’incertitude du succès clinique et de l’obtention des autorisations réglementaires ; l’incertitude du succès commercial ; les difficultés et retards de fabrication ; la concurrence, y compris les avancées technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par les concurrents ; les contestations de brevets ; les problèmes d’efficacité ou de sécurité des produits entraînant des rappels de produits ou des mesures réglementaires ; les changements de comportement et les habitudes de dépenses des acheteurs de produits et services de soins de santé ; les modifications des lois et réglementations applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé ; et les tendances à la maîtrise des coûts des soins de santé. Une liste et des descriptions supplémentaires de ces risques, incertitudes et autres facteurs peuvent figurer dans le rapport annuel de Johnson & Johnson sur formulaire 10-K pour l’exercice clos le 31 décembre 2023, y compris dans les sections intitulées « Mise en garde concernant les déclarations prospectives » et « Rubrique 1A. Facteurs de risque » et dans les rapports trimestriels ultérieurs de Johnson & Johnson sur formulaire 10-Q et autres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission. Des exemplaires de ces documents sont disponibles en ligne à l’adresse www.sec.gov, www.jnj.com ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Ni Janssen Cilag International NV ni Johnson & Johnson ne s’engagent à mettre à jour les déclarations prospectives à la suite de nouvelles informations ou d’événements ou développements futurs.

© Janssen-Cilag International NV, Inc. 2024. Tous droits réservés.

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* Le professeur Nicolas Girard a fourni des services de consultation, de conseil et de porte-parole à Janssen-Cilag International NV ; il n’a reçu aucune rémunération pour des travaux en lien avec les médias.

** Les critères RECIST (v1.1) font référence aux critères d’évaluation de la réponse dans les tumeurs solides, qui constituent une méthode standard de mesure de la réponse des tumeurs solides au traitement et qui se basent sur le fait que les tumeurs rétrécissent, restent les mêmes ou grossissent.


1 Lim S, et al. Subcutaneous amivantamab and lazertinib as first-line treatment in patients with advanced EGFR-mutated, non-small cell lung cancer (NSCLC): Interim results from the phase 2 PALOMA-2 study. Réunion annuelle de l’American Society for Clinical Oncology (2024). 3 juin 2024.
2 Lim S et al. Subcutaneous amivantamab and lazertinib as first-line treatment in patients with advanced EGFR-mutated, non-small cell lung cancer (NSCLC): Interim results from the phase 2 PALOMA-2 study. Réunion annuelle de l’American Society for Clinical Oncology (2024), soumission d'un résumé.
3 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab in Participants With Advanced or Metastatic Solid Tumors Including Epidermal Growth Factor Receptor (EGFR)-Mutated Non-Small Cell Lung Cancer (PALOMA-2). Disponible à l’adresse suivante :https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT05498428. Consulté en juin 2024.
4 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab and Lazertinib Combination Therapy Versus Osimertinib in Locally
Advanced or Metastatic Non-Small Cell Lung Cancer (MARIPOSA). Disponible à l’adresse suivante : https://classic.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04487080. Dernière consultation : juin 2024.
5 Grugan, et al. Fc-mediated activity of EGFR x c-Met bispecific antibody JNJ-61186372 enhanced killing of lung cancer cells. MAbs. 2017;9(1):114-126.
6 Yun, et al. Antitumor Activity of Amivantamab (JNJ-61186372), an EGFR–MET Bispecific Antibody, in Diverse Models of EGFR Exon 20 Insertion–Driven NSCLC. Cancer Discov. 2020;10(8):1194-1209.
7 Vijayaraghavan, et al. Amivantamab (JNJ-61186372), an Fc Enhanced EGFR/cMet Bispecific Antibody, Induces Receptor Downmodulation and Antitumor Activity by Monocyte/Macrophage Trogocytosis. Mol Cancer Ther.2020;19(10):2044-2056.
8 Moores, et al. A Novel Bispecific Antibody Targeting EGFR and cMet Is Effective against EGFR Inhibitor-Resistant Lung Tumors. Cancer Res. 2016;76(13)(suppl 27216193):3942-3953.
9 Agence européenne des médicaments. Résumé des caractéristiques du produit de l’amivantamab Janvier 2023. Disponible à l’adresse suivante : Rybrevant, DCI-amivantamab (europa.eu). Dernière consultation : juin 2024.
10 Janssen EMEA. Janssen dépose auprès de l’Agence européenne des médicaments une demande d’autorisation pour RYBREVANT®▼ (amivantamab) en association avec une chimiothérapie pour le traitement des patients adultes atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules avancé avec mutations de l’EGFR, après échec d’un traitement antérieur. Disponible à l’adresse suivante : https://www.janssen.com/emea/sites/www_janssen_com_emea/files/janssen_mariposa-2_filing_press_release_2023.pdf. Dernière consultation : juin 2024.
11 Janssen.com/EMEA. Janssen dépose une demande d’extension d’indication de type II auprès de l’Agence européenne des médicaments en vue d’obtenir l’autorisation de RYBREVANT®▼ (amivantamab), en association avec le lazertinib, pour le traitement de première intention des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules avec mutations de l’EGFR. Disponible à l’adresse suivante : https://www.janssen.com/emea/sites/www_janssen_com_emea/files/amivantamab_mariposa_ema_filing_release_2024_2.pdf. Dernière consultation : juin 2024.
12 Janssen.com/EMEA. Johnson & Johnson reçoit un avis favorable du CHMP pour RYBREVANT®▼ (amivantamab) en association avec une chimiothérapie en traitement de première ligne chez les patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules avancé avec mutations activatrices par insertion dans l’exon 20 de l’EGFR. Disponible à l’adresse suivante : https://www.janssen.com/emea/sites/www_janssen_com_emea/files/papillon_chmp_press_release_2024.pdf. Dernière consultation : juin 2024.
13 Janssen EMEA. Johnson & Johnson dépose auprès de l’Agence européenne des médicaments une demande d’autorisation de la formulation sous-cutanée de RYBREVANT®▼ (amivantamab) pour le traitement des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules avec mutations de l’EGFR. Disponible à l’adresse suivante : https://www.globenewswire.com/news-release/2024/05/31/2891769/0/en/Johnson-Johnson-submits-application-to-the-European-Medicines-Agency-seeking-approval-of-subcutaneous-formulation-of-RYBREVANT-amivantamab-for-the-treatment-of-patients-with-EGFR-m.html. Dernière consultation : juin 2024.
14 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab Subcutaneous (SC) Administration for the Treatment of Advanced Solid Malignancies (PALOMA). Disponible à l’adresse suivante : https://clinicaltrials.gov/study/NCT04606381. Dernière consultation : juin 2024.
15 ClinicalTrials.gov. A Study of Lazertinib With Subcutaneous Amivantamab Compared With Intravenous Amivantamab in Participants With Epidermal Growth Factor Receptor (EGFR)-Mutated Advanced or Metastatic Non-small Cell Lung Cancer (PALOMA-3). Disponible à l’adresse suivante : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT05388669. Dernière consultation : juin 2024.
16 ClinicalTrials.gov. A Study of Combination Amivantamab and Carboplatin-Pemetrexed Therapy, Compared With Carboplatin-Pemetrexed, in Participants With Advanced or Metastatic Non-Small Cell Lung Cancer Characterized by Epidermal Growth Factor Receptor (EGFR) Exon 20 Insertions (PAPILLON). Disponible à l’adresse suivante : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04538664. Dernière consultation : juin 2024.
17 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab and Lazertinib in Combination With Platinum-Based Chemotherapy Compared With Platinum-Based Chemotherapy in Patients With Epidermal Growth Factor Receptor (EGFR)-Mutated Locally Advanced or Metastatic Non-Small Cell Lung Cancer After Osimertinib Failure (MARIPOSA-2). Disponible à l’adresse suivante : https://classic.clinicaltrials.gov/ct2/show/study/NCT04988295. Dernière consultation : juin 2024.
18 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab and Lazertinib Combination Therapy Versus Osimertinib in Locally Advanced or Metastatic Non-Small Cell Lung Cancer (MARIPOSA). Disponible à l’adresse suivante : https://classic.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04487080. Dernière consultation : juin 2024.
19 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab, a Human Bispecific EGFR and cMet Antibody, in Participants With Advanced Non-Small Cell Lung Cancer (CHRYSALIS). Disponible à l’adresse suivante : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT02609776. Dernière consultation : juin 2024.
20 ClinicalTrials.gov. A Study of Lazertinib as Monotherapy or in Combination With Amivantamab in Participants With Advanced Non-small Cell Lung Cancer (CHRYSALIS-2). Disponible à l’adresse suivante : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04077463. Dernière consultation : juin 2024.
21 ClinicalTrials.gov. A Study of Amivantamab and Capmatinib Combination Therapy in Unresectable Metastatic Non-small Cell Lung Cancer (METalmark). Disponible à l’adresse suivante : https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT05488314. Dernière consultation : juin 2024.
22 ClinicalTrials.gov. A Study of Combination Therapy With Amivantamab and Cetrelimab in Participants With Metastatic Non-small Cell Lung Cancer (PolyDamas). Disponible à l’adresse suivante : https://www.clinicaltrials.gov/study/NCT05908734?term=polydamas&rank=1. Dernière consultation : juin 2024.
23 ClinicalTrials.gov. Premedication to Reduce Amivantamab Associated Infusion Related Reactions (SKIPPirr). Disponible à l’adresse suivante : https://classic.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT05663866. Dernière consultation : juin 2024.
24 Global Cancer Observatory. Cancer Today. Disponible à l’adresse suivante : https://gco.iarc.fr/en. Dernière consultation : juin 2024.
25 Zappa C, et al. Non-small cell lung cancer: current treatment and future advances. Transl Lung Cancer Res 2016;5(3):288–300.
26 Wee, P & Wang, Z. Cancers 2017. Epidermal Growth Factor Receptor Cell Proliferation Signaling Pathways
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27 Pennell NA, et al. A phase II trial of adjuvant erlotinib in patients with resected epidermal growth factor receptor-mutant non-small cell lung cancer. J Clin Oncol. 37:97-104.
28 Burnett H, et al. Epidemiological and clinical burden of EGFR exon 20 insertion in advanced non-small cell lung cancer: a systematic literature review. Résumé présenté à : Réunion annuelle de la Conférence mondiale sur le cancer du poumon ; 29 janvier 2021 ; Singapour.
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33 Lin JJ, et al. Five-Year Survival in EGFR-Mutant Metastatic Lung Adenocarcinoma Treated with EGFR-TKIs. J Thorac Oncol. 2016 Apr;11(4):556-65.
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CP-455613

Juin 2024

 

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